Oh ! mon pĂšre et ma mĂšre ! Oh ! mes chers disparus qui avez si modestement vĂ©cu dans cette petite maison, câest Ă vous que je dois tout ! Tes enthousiasmes, ma vaillante mĂšre, tu les as fait passer en moi. Si jâai toujours associĂ© la grandeur de la science Ă la grandeur de la patrie, câest que jâĂ©tais imprĂ©gnĂ© des sentiments que tu mâavais inspirĂ©s. Et toi mon cher pĂšre, dont la vie fut aussi rude que ton rude mĂ©tier, tu mâas montrĂ© ce que peut faire la patience dans les longs efforts. Continuer la lecture de « Oh ! mon pĂšre et ma mĂšre ! Oh ! mes chers disparus… »